9 mai 1945 – Guerre Russie Ukraine et Monde Libre

9 Mai 1945 : Après le calamiteux défilé sur la Place Rouge, sans défilé aérien, Poutine a tenu un discours creux sans grandes annonces.
Il ne s’est pas adressé au Monde, mais seulement à son peuple en évoquant très rapidement le conflit Ukrainien. Déconnecté de la réalité et enlisé dans une guerre que l’armée russe mettra des années à éponger, il n’a pas eu le courage d’aller plus loin encore dans la folie.
En réponse cependant, le Président Zelensky n’a pas hésité à porter quelques coups au foie de l’Ours Fasciste Russe.
Alors qu’en France, nos concitoyens se plaignent jours après jours « d’incroyables difficultés de confort » et que certains seraient prêts à copiner avec les gouvernements autoritaires du monde, le peuple Ukrainien est massacré à nos portes.
Un peuple Européen, qui se bats depuis la chute de l’URSS pour gagner son indépendance et vivre libre, dans la démocratie et dans le respect des lois internationales. Des hommes, femmes et enfants, sont tués, massacrés ou déportés par l’Armée Russe depuis plus de deux mois.77 ans après la victoire sur le IIIe Reich, et son idéologie national-socialiste fasciste, la Russie bafoue toutes les règles et lois établies depuis 1945.
De par ses actes, et la complicité passive du peuple Russe, Poutine a montré que son pays, la Russie, et son peuple, déchireraient tous les traités en envahissant un pays souverain, et en organisant un ciblage précis et méthodique des populations civiles, considérées comme une monnaie d’échange à sacrifier pour faire pression.
Plus de deux mois après le début de cette grande guerre « Moderne » sans précédents, le peuple Ukrainien est plus déterminé que jamais et refuse de négocier avec la Russie. Les citoyens Ukrainiens ne sont pas prêts à céder des terres et se battrons pour traîner les responsables russes devant les tribunaux internationaux.
L’esprit de résilience du Peuple Français est en comparaison mort depuis longtemps, lui qui se complaît dans l’indécente plainte permanente, alors qu’il a la joie de vivre dans un pays qui n’est plus en guerre sur son sol depuis 1945.
Il serait bon de se souvenir des sacrifices de nos anciens et de s’engager, plus activement encore, aux côtés du peuple Ukrainien.
Notre réponse reste trop faible et n’est pas à la hauteur de notre héritage. Notre responsabilité de Français, Européens, est engagée partout où les grandes clauses de la Charte des Nations-Unies est bafouée.
Nous avons, aujourd’hui, la possibilité de porter des coups durs à la Russie et à ses partenaires, partout dans le Monde, et notamment en Afrique pour faire cesser cette folie. Il n’appartient qu’à nous, et à nos chefs, de se montrer digne de notre responsabilité.
En Afrique déjà, au Mali et en Centrafrique, des massacres ont eu lieu récemment, orchestrés par cette alliance macabre entre ces pays et la Russie, exécutés par le groupe de mercenaires fascistes Wagner.
Le droit international est de notre côté, et il n’existe actuellement aucun frein pour que la France et ses alliés, s’attaquent à Wagner en Afrique.
Il ne nous manque que la volonté politique.
Nous sommes déjà positionnés en cobelligérants dans la guerre Ukrainienne et il est temps de jouer carte sur table. Tout doit être fait pour faire reculer la Russie et mettre à genou Poutine.
La guerre appelle la guerre.
La fermeté et la détermination de notre action, y compris militaire, est la seule chose qui peut empêcher une Guerre Mondiale Globale.
L’indécision et la mollesse ne feront que nous laisser à la merci de la Russie et de ses partenaires qui s’organisent de plus en plus, comme un « Axe du Mal » en confrontation directe avec l’OTAN et nos partenaires.
Si vous désirez une politique intérieure progressiste, juste et équilibrée, vous saurez qu’elle est indissociable de la politique étrangère.
Il n’existe aucun volet majeur de l’économie, du social, ou de l’écologie, en France, qui ne soit pas directement impacté par la politique étrangère Française et la négociation des traités commerciaux.

Si vous, Français(es), ne vous engagez pas pour rétablir un statu-quo et une stabilité mondiale, vous ne regagnerez jamais demain ce que vous avez perdu hier.
Car toutes les périodes de crise majeure apportent une réduction drastique des libertés élémentaires, partout dans les pays concernés.
Face à des citoyens plaintifs, qui préfèrent la sécurité et l’absence de risques, plutôt que la grève générale ou la contestation active, les prochaines années s’annoncent particulièrement difficiles, peu importe la gouvernance.
Si vous voulez la paix chez vous, la stabilité nationale, un regain de droits sociaux, de libertés et de richesses, nous devons mettre fin à cette guerre froide mondiale, pour pouvoir, seulement alors, se concentrer activement sur notre politique intérieure et réformer notre république.

Auteur : A.N

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